Jeanne AYACHE
Un chemin de vie vers la conscience
Ce livre est le récit d’un chemin scientifique initiatique, un chemin de conscience que l’on peut tous s’approprier, et qui nous montre les transformations inévitables que nos expériences de vie nous amènent à effectuer.
Au cœur de la matière résident l’énergie et la force de vie qui lui donnent ses structures et ses propriétés. En nous reliant par la conscience à ces dimensions invisibles, nous sommes capables d’agir sur nous-mêmes et d’activer en particulier une puissance d’autoguérison qui soigne à la fois l’âme et le corps.
En établissant un parallèle audacieux mais pertinent entre la façon dont la matière inerte tire ses propriétés uniques de ses défauts de structuration, et les blessures et fêlures d’un être humain, l’auteure nous entraîne sur son propre parcours de guérison.
Du minéral au vivant, du microscopique au cosmos, Jeanne Ayache tire de sa riche expérience de chercheuse en physique et biologie un regard unique sur le monde qui nous entoure et notre place en son sein. Aujourd’hui thérapeute énergéticienne, elle travaille sur la dimension symbolique et sacrée de l’humain en inscrivant ses pas dans ceux d’illustres pionnières, comme Annick de Souzenelle ou Jacqueline Bousquet.
Préface
Ce livre extrêmement bien documenté réussit à faire un pont entre, d’une part les connaissances académiques impressionnantes de Jeanne Ayache en sciences des matériaux puis en biologie, et d’autre part, sa conviction personnelle acquise par son long parcours de chercheuse au CNRS, selon laquelle tout le vivant correspond à de la matière structurée par de l’information qui n’émane pas de cette matière ou alors qui s’y trouve très bien cachée. Cette information provient de toute évidence, selon Jeanne, d’une source quantique d’organisation qui n’est ni plus ni moins que de la conscience cellulaire.
C’est parce que j’ai moi-même découvert au cours de mon expérience de physicien que tous les systèmes dynamiques mettant en jeu des interactions complexes avaient besoin d’une source d’information extérieure à leur propre matérialité que j’ai acquis la même conviction que Jeanne. Nous avons ainsi tous deux suivi un chemin analogue qui nous a conduits à nous éloigner du matérialisme ordinaire, dans lequel tout chercheur académique se trouve aisément enfermé lors de son parcours universitaire, sauf à s’éveiller au travers d’une riche expérience interdisciplinaire.
Si le chemin suivi par Jeanne peut être qualifié d’initiatique comme l’a été le mien, c’est surtout parce que notre vie personnelle, qu’il s’agisse de nos joies, de nos épreuves, de nos rencontres et surtout des hasards qui les ont fait se succéder aux moments opportuns, a interagi avec notre vie professionnelle pour finalement donner à cette dernière un sens bien plus profond qu’attendu, comme s’il n’y avait pas de tels hasards et qu’il s’était agi pour nous de tirer bien plus de « matière » de notre métier de chercheur que de simples découvertes avec leurs innovations ou publications à la clé. Comme Jeanne, je suis certain qu’il s’agissait là pour nous de contribuer au changement complet de paradigme en cours sur notre planète.
Mais pour parvenir au bout de ce chemin où s’impose effectivement un tel changement global au travers d’une nouvelle conception de la conscience, fondée sur l’information quantique et bien différenciée à ce titre de la matière, il est indispensable de mettre en œuvre une faculté de synthèse à laquelle seule l’intuition peut donner accès. Car l’appréhension globale des véritables mécanismes du vivant échappe encore à la science, trop plombée par son fonctionnement de type exclusivement « cerveau gauche », en l’occurrence l’analyse et le découpage en multiples disciplines ou thématiques. C’est la grande diversité des thématiques, des modèles et des outils d’analyse qui induit ce découpage et c’est la raison pour laquelle c’est l’expérience de nombreuses disciplines, que j’ai là encore en commun avec Jeanne, qui nous a permis de développer une intuition de ce que devraient être les véritables « mécanismes » du vivant, puis d’en parler dans des livres.
Philippe Guillemant,
Saint-Geniez, le 7 septembre 2018.
Introduction
Pourquoi ce livre ? Ce livre est l’aboutissement d’un chemin initiatique grâce à l’étude de la structure de la matière et de ce qu’elle transporte. C’est un voyage scientifique de l’esprit de la matière à la conscience. Très tôt au cours de mes recherches, j’ai senti le besoin de relier le rationnel à l’irrationnel, la matière visible à l’invisible, la face cachée des choses et des êtres à ce qu’ils montrent. Je me suis intéressée au cours de mes études aux comportements humains et aux liens qui existent entre leur origine, la nature des êtres, leur structure et leurs comportements.
Ce chemin de recherche a pris toute sa dimension lorsque je suis entrée au CNRS et que je suis devenue microscopiste. Il m’a permis d’intégrer les lois de la matière en physique, puis les lois de la vie en biologie, lois que j’ai mises en application dans ma vie au fur et à mesure de mes recherches scientifiques.
Au cours de ma carrière, j’ai traversé plusieurs communautés scientifiques, de la physique à la biologie, à travers la microscopie électronique. Mon entrée au CNRS a marqué le point de départ de mon chemin initiatique avec l’étude de la structure de la matière. Mes différentes recherches sur la matière, dans tous ses états, ont enrichi ma vision de la matière solide, celle que l’on apprend à l’école, puis à l’université et enfin dans les laboratoires de recherche de physique et chimie. Ma rencontre avec la recherche en biologie a bouleversé toutes mes croyances de physicienne.
En étudiant la matière et son comportement dans tous ses états à l’échelle microscopique, j’ai fait l’analogie entre le comportement de la matière et celui de l’humain. Je me suis rendu compte que les lois qui gouvernent le comportement de la matière s’appliquent aussi à l’esprit. Aujourd’hui, je les relie grâce à la nature profonde spirituelle que la matière porte en elle.
En synchronicité avec mes études scientifiques en science des matériaux, j’ai eu pendant dix ans des problèmes importants de santé, en particulier une polyarthrite rhumatoïde. Mes symptômes s’étant déplacés de la tête aux pieds, j’ai été amenée à rechercher le lien subtil entre la fonction biologique et le sens symbolique que détient chaque organe.
A propos de l’auteure
Docteur d’État en sciences physiques et microscopiste, retraitée du CNRS depuis 2017, Jeanne Ayache a conduit une activité de recherche sur l’étude de la structure de la matière en physique et en science des matériaux, avant de s’orienter, à partir de 2004, sur l’étude du vivant en biologie moléculaire et cellulaire. Elle a complété sa formation académique par une étude poussée en médecine chinoise, médecine « quantique », musicothérapie énergétique et nutripuncture. Elle pratique depuis plus de dix-sept ans les soins énergétiques du corps vibratoire. Elle est également conférencière et auteure de nombreux articles et ouvrages scientifiques.
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