Toutes les disciplines sportives connaissent de l’évolution au fil du temps, que ce soit en ce qui concerne les règles de jeu ou sur le plan des compétitions. Le sport automobile ne fait pas exception à cette observation, et a pris ces dernières années une autre dimension. Mais à la différence des autres disciplines, le sport automobile a axé sa croissance sur les valeurs qui très tôt avaient fait sa force : l’innovation et la performance. Et en plus de se renforcer du côté mécanique, le sport automobile se veut aujourd’hui de plus en plus écolo.
Sport automobile : une popularité croissante
L’innovation et la performance ont constitué jusque-là les principales forces du sport mécanique. C’est sur ces valeurs essentielles que la discipline a basé sa croissance, grâce à l’apport de divers acteurs. Spécialistes de la mécanique et de la conception d’accessoires pour voitures de sport, des acteurs comme GT2i ont, en raison de leur activité, contribué à faire grandir la discipline.
De leur côté, les constructeurs automobiles et les écuries du sport mécanique n’ont de cesse d’améliorer les caractéristiques et performances de leurs voitures, misant sur la technicité, la précision, la sécurité, l’esprit d’équipe et la transversalité.
Le riche patrimoine industriel dont il dispose est aussi un facteur ayant contribué à faire grandir le sport automobile. Employant aujourd’hui des milliers de personnes dans le monde, la discipline a aussi connu une croissance saine et rapide grâce à la grande disponibilité de circuits modernes dans certains pays, la naissance d’instances dirigeantes, et l’implication des constructeurs comme Fiat, Mercedes, Renault, Citroën.
Bien sûr, au-delà de tout, les retombées financières des rallyes et grands prix ont aussi joué un rôle décisif.
Sport auto : une discipline plus éco-responsable
De plus en plus, les sports automobiles sont résolus à contribuer grandement à la protection de l’environnement, en réduisant leur empreinte écologique. Les acteurs majeurs du domaine ont décidé de s’inscrire dans la logique du renouveau initié par les rencontres internationales comme la COP 21 à Paris en 2015, en vue d’obtenir un monde plus vert et plus sain.
Ainsi, les entreprises intervenant dans les sports automobiles prennent leurs responsabilités. C’est fort de ce nouvel idéal que le secteur s’est trouvé un ambassadeur des plus remarquables, en la personne du célèbre pilote de Formule 1 Lewis Hamilton, sextuple champion du monde et défenseur de la protection de l’environnement et des espèces animales.
Autres preuves de cette volonté des sports mécaniques d’apporter leur contribution à une planète plus verte ? La présence des moteurs hybrides en Formule 1 depuis 2014, les prévisions évoquant leur utilisation lors des championnats du monde des rallyes en 2022, ou encore les moteurs 100 % électriques en formule E depuis 2014.
Par ailleurs, les experts s’accordent sur le fait que l’empreinte écologique des sports mécaniques ne leur est pas directement liée.
Elle se rapporte surtout à l’organisation des événements. Pour preuve, la Formule 1 a émis 256 551 tonnes de CO2 en 2019, mais seulement 0,7 % d’émissions sont liées aux moteurs. Le transport de matériel couvre 45 %, les autres activités organisées sur le circuit 7,3 %, les déplacements des personnels 27,7 %, contre 19,3 % pour le fonctionnement des bureaux et usines.
C’est une réalité que les acteurs et institutions des sports mécaniques prennent en compte, ce qui justifie leur engagement à vouloir repenser la discipline.
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