Dr Louis FOUCHE
Entretien avec Stéphane CHATRY,
Illustrations de Benoît Flamec
Éclairons le monde de demain !
Le plaidoyer humaniste du Docteur Louis Fouché !
Résistant, gardien du vivant, Louis Fouché est un des ambassadeurs du collectif Reinfocovid. Montrant les failles et les revers de la politique sanitaire de l’État, critique envers les médias mainstream, il est devenu malgré lui une voix qui compte sur les réseaux sociaux. Ses entretiens avec Stéphane Chatry sur YouTube ont été visionnés des centaines de milliers de fois.
Inspiré de ces échanges, ce livre :
Met en perspective !
L’intox à l’info covid, le néolibéralisme et la santé, les méfaits du transhumanisme, les limitations de notre liberté de choix et d’expression, une vision unilatérale appauvrie de l’immunité…
La permaculture humaine, l’autonomie alimentaire et en santé, les arts militants…
Loin des réflexions simplistes des médias, Louis Fouché prend de la hauteur et appelle chacun d’entre nous à tirer des leçons de cette crise.
Propose !
La permaculture humaine, l’autonomie alimentaire et en santé, les arts militants…
Loin des réflexions simplistes des médias, Louis Fouché prend de la hauteur et appelle chacun d’entre nous à tirer des leçons de cette crise.
Soyons acteurs du monde de demain !
Lettre de Carole et Louis Fouché – Mai 2021
Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le coronavirus en «crise sanitaire mondiale», en «pandémie globale». Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques. Nous tenons par cette lettre à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot «grâce».
Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous. Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.
Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses «clochaient» dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un «quelque chose» qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher.
Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe sont arrivés, nous arrachant nos œillères, nous laissant contempler le désastre. D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles !
Nous avons épluché tous les articles de science, tous les décrets, informations, lois, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des «complotistes».
Nous avons appris à maîtriser Internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé, créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.
Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis: nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découvert de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse. Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.
Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre. Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.
Nous ne voulons pas vivre masqués. Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres. Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de «donner la mort» à nos proches en transmettant un virus.
Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront. Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.
Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles. Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale : 1 mètre, puis 1 mètre 50, puis 2 mètres avec les nouveaux variants.» Vous nous avez rassemblés.
Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tout seuls avec vos ombres.
Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.
Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être? Nous avons faim de liberté.
Vous vouliez nous vendre des médicaments coûteux à l’efficacité et à la sécurité douteuses ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.
Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ?
Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre. Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.
Quelques intentions et vœux pour nous tous
Nous sommes dans un déferlement totalitaire de Khmers blancs technosanitaristes néolibéraux. Ils sont en train de «rapter» le contrat social de manière unilatérale et extrêmement inquiétante. Ces ingénieurs, ces financiers, ces marchands et ces politiciens sont l’instrument du déferlement totalitaire. Ils mangent la vie à tous les endroits où elle naît.
Le Vivant doit se réveiller. Et, pour qu’il se réveille, soufflons sur les braises de ceux qui ont un doute, de tous ceux qui pensent que quelque chose ne va pas bien. Et mettons-les en lien.
Que vos familles et ceux que vous aimez soient remplis de sourires et de joie. Que leur pas et le vôtre soient sûrs. Que votre chemin traverse avec légèreté les embûches et les pièges. Qu’il soit un détour pour visiter la beauté de cette aventure d’être en vie et d’être ensemble.
Que nous puissions traverser mille contrées ensemble, serrés les uns contre les autres, à admirer avec humour les chatoiements du réel. J’ai un vrai souhait d’humour. Peut-être ce déferlement totalitaire peut-il se briser comme un éclat de rire?
Que nous nous soutenions. Que nous trouvions ensemble et chacun les chemins de traverse pour cette longue marche au milieu des bourrasques.
Et qu’il nous soit donné de voir que cette harassante traversée du désert est, en fait, une promenade vers l’oasis.
Que nous puissions nous montrer les uns aux autres les secrets et les cartes, les étoiles et les points de repère pour qu’aucun ne se perde ou ne soit abandonné sur le chemin.
Notre espoir est ridicule. Notre courage est immense. Nous sommes invincibles. Nous sommes vivants et déterminés.
Nous sommes les héros que nous attendions.
Que la paix nous guide.
Et c’est un vrai souhait: que s’élève une force politique de la paix, de la non-violence!
Telle que l’ont tracée avant nous des Gandhi, des Nelson Mandela, des Martin Luther King, chacun à leur façon imparfaite.
Que de ces liens que nous nouons chaque jour naissent mille possibles pour le tissu du monde.
Avec patience, que ce tissu à mille couleurs soit celui d’un monde où le Vivant est la source et la clé.
Je suis libre et en lien. Et, du fond du cœur, du fond de mes tripes, comme un chant, comme un cri, comme une prière murmurée. Très bonne construction d’un autre monde à nous tous !
Louis Fouché
A propos des auteurs
Le Dr Louis Fouché est médecin anesthésiste-réanimateur à l’APH de Marseille.
Résistant, gardien du vivant, Louis Fouché est un des ambassadeurs du collectif Reinfocovid. Montrant les failles et les revers de la politique sanitaire de l’État, critique envers les médias mainstream, il est devenu malgré lui une voix qui compte sur les réseaux sociaux. Ses entretiens avec Stéphane Chatry sur YouTube ont été visionnés des centaines de milliers de fois.
Stéphane Chatry, est initiateur de la chaine ethiqueTV.fr et de l’association ArtivismCA ayant pour objectif le partage des savoirs et la mise en oeuvre de projets artistiques, scientifiques, éducatifs et culturels destinés à produire de nouvelles perspectives sur des problèmes de société. Il est également spécialiste en « permaculture ».
Découvrez le livre « Tous résistants dans l’âme » du Dr Louis Fouché en cliquant ci-dessous :
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"Pour Réussir"
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18 Secrets de Grand Leaders
pour développer votre confiance en soi.
Bonjour Louis…,
J’ai plus que de l’admiration pour votre message.
A mon échelle…, n’étant qu’un artiste je me permets de vous transmettre mon message que voici…, tout personnel.
Si je puis collaborer d’une manière ou l’autre à vos projets ce serait avec plaisir.
bien à vous.
Christian
Si tout s’effiloche, notre période actuelle ne constitue-elle pas malgré tout une opportunité au changement?
Notre monde est jalonné de complexité, de démesure et de gigantisme.
La plupart des problèmes de ce monde sont dû au fait que nous nous engluons dans une complexité de plus en plus difficile à gérer. Très souvent nous ne sommes plus en mesure de suivre l’innovation du monde de la technique, nous là subissons, on l’absorbe en se mettant en conformité avec elle. Nous fonctionnons avec des systèmes devenus extrêmement fragiles parce que trop complexes et inter-connectés. Alors que plus un système est petit, plus facile il sera à gérer, à assimiler, au mieux il va prospérer. D’où tout l’intérêt de trouver des technologies faciles à gérer, que l’on domine facilement, sans l’intervention de spécialistes. Plutôt que de nous engouffrer dans des technologies qui nous dépassent, restreignons nos idées de grandeur et revenons en à des idées plus raisonnables, en nous ingéniant à trouver des technologies qui nous permettent le plus d’autonomie possible question énergétique.
Ne serait-il pas urgent de changer de modèle?
Tous les chiffres sont affolants. Ce qui nous pend au nez c’est la disparition de la vie sur Terre. Notre civilisation de la combustion énergétique s’est accélérée en tous sens et n’a pas arrêté de produire des déchets, alors que la nature n’en a jamais produit. Pourquoi n’imitons-nous pas nous aussi la nature en transformant nos déchets en ressources? L’usage des toilette sèches en est un bon exemple, elle évite d’utiliser de l’eau potable pour évacuer la matière fécale, laquelle servira ensuite de compost.Tout dans notre monde ou dans la nature est en lien, en relations, en interactions et si on ne va pas plus que rapidement vers un prise de conscience collective, on va droit à la catastrophe. Cela demande de cerner et définir nos objectifs, de voir ce dont on a réellement besoin ici et maintenant afin de nous offrir un plus bel horizon, un imaginaire plus agréable, plus beau que ce qu’on vit actuellement. Malheureusement, le construire dans la sobriété ne nous pousse pas à trouver l’opportunité d’un changement. Pour bouger et changer il faut quitter notre zone de confort, nous mettre en difficulté. La question à se poser est celle de savoir quelle partie de notre vie actuelle nous sommes prêts à abandonner, à mettre en difficulté pour changer et faire face à ce nouveau monde? Parce que ce n’est pas en accumulant des biens et en satisfaisant notre petit confort matériel qu’on arrivera à être heureux. Ce modèle-là s’effrite totalement.
La quête du bonheur par la simplicité
Face à ces temps amenés à se dégrader, aujourd’hui il ne nous reste donc plus qu’à nous adapter en mettant une autre société en place, une société de partage responsable et solidaire. Retrouvons le confort dans les petites choses, éliminons tout ce qui ne contribue pas au bonheur et orientons-nous vers une forme de simplicité sans croissance. Une grande partie de nos consommations et activités sont excessives et inutiles, elles amènent rapidement insatisfaction et lassitude. Nous allons devoir apprendre l’art d’être heureux avec ce que l’on a déjà et le vivre bien, à éprouver de la gratitude et savourer la chance qu’on a. Il n’y a pas d’autre choix que de nous orienter vers la frugalité, en remettant les technologies à leur juste place, en n’en étant plus esclaves et en acceptant qu’on ne sera plus jamais dans l’abondance. Tôt ou tard nous serons obligés de nous aligner sur ce qui se présente et nous orienter vers une certaine forme de sobriété. Nous allons devoir nous offrir un mode de vie plus simple, minimaliste et apprendre à habiter dans du petit. L’idée même d’habiter « petit » exclut toute notion de richesse, il n’y a pas de place pour y accumuler des objets. Il n’est pas difficile d’imaginer habiter du petit, pourvu qu’il soit astucieusement agencé. La surface de l’enveloppe d’une habitation a également tout intérêt à être réduite afin d’être le moins possible exposé aux intempéries. Son volume doit être compact et orienté vers le Sud, de manière à engranger et limiter les pertes de chaleur. Toujours dans l’idée d’habiter du petit, Léonard de Vinci n’a-il pas dit que… « Les petites maisons renforcent l’esprit, les grandes l’affaiblissent »? Ajoutons y ces deux citation d’Henry David Thoreau écrivain américain et apôtre de la simplicité volontaire « Un homme est riche en proportion des choses dont il peut se passer » ou « Le plus riche des hommes est celui dont les plaisirs sont les moins couteux ».
C’est donc le moment de tout réduire en mieux
Conclusion, dans le monde qui vient on peut réaliser du passif ou bioclimatique, mais il doit s’orienter vers la décroissance. Nous avons tous été programmés dans l’optique d’un « toujours plus », arrive maintenant le moment de tout réduire, de se désencombrer en essayant de faire mieux avec moins. En toute logique, s’il s’agit de consommer le moins d’énergie possible, on en consommera d’autant moins si la maison est petite. Il ne nous reste donc plus qu’à en réduire la taille des nos habitations, à cultiver cet art de vivre dans des espaces condensés réduits à l’essentiel. On construit souvent tout bien trop grand, avec des d’espaces de circulation trop nombreux et démesurés, exemple des cages d’escalier d’1 mètre 20 de large, alors qu’on peut largement se contenter d’une de 0,70 cm de large. Si on parle de réduire nos espaces habitables, ce serait aussi par exemple en le partageant avec d’autres, en s’accolant en maisons mitoyennes ou les partageant en l’habitat groupé. Bref, nous sommes invités désormais à nous désencombrer de tout superflu pour nous concentrer sur l’essentiel. Nous n’avons plus d’autre alternative que de tout réduire…, de diminuer notre niveau de vie en faisant moins les chose (quantitativement), mais mieux (qualitativement). Le philosophe Gaston Bachelard ne nous a-il pas dit qu’en nous laissant guider par la rêverie miniaturante, tout deviendra plus apaisant, voire thérapeutique. Les petites choses simples et lentes, gardent un rythme humain. Redécouvrons la lenteur et le silence, en n’oubliant pas l’essentiel, la solidarité. C’est la survie de l’Homme. Ce n’est qu’en se rebranchant sur un vivre ensemble, au service des autres et la protection de notre environnement, en réconciliant l’homme avec la nature que nous pourrons redonner enfin au monde saveur et légèreté.
La maison écologique – Christian La Grange – Livre – Éditions de Terran
Cabanons à vivre – Christian la Grange – Éditions de Terran
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