Femme hypersensible, cette sorcière qui s'ignore. - Anne LANDRY

Femme hypersensible, cette sorcière qui s’ignore. – Anne LANDRY.

 

Anne LANDRY

 

La voix de l’âme

 

Femmes hypersensibles et empathiques, n’ayez plus peur de ce que vous percevez !


Les sorcières ne sont pas mortes, elles vivent sous les traits de chaque femme hypersensible.

C’est à travers l’héritage de ces femmes du xiiie siècle qu’Anne Landry entend vous réconcilier avec vos facultés intuitives. Cessez de vous brûler sur un bûcher, libérez et assumez pleinement la sorcière qui est en vous.

Cet ouvrage pratique propose de nombreux rituels, à la fois psychologiques et énergétiques. Il dresse également différents portraits de sorcières hypersensibles en qui vous reconnaître.

En s’appuyant sur son histoire personnelle, l’auteure fait le pont entre psychanalyse et médiumnité afin de donner la parole à la sorcière qui sommeille en chacune de vous.

 

Avant-propos  

 

Nous entendons partout « prends soin de toi, fais-toi confiance». 

Mais comment se faire confiance quand on ne se connaît pas? Faites-vous confiance à quelqu’un que vous ne connaissez pas? 

Je rencontre tous les jours des personnes qui ne se connaissent pas. Chaque personne qui passe le seuil de mon cabinet ne sait pas qui elle est. Comment le pourrait-elle? 

Femme hypersensible, cette sorcière qui s'ignore. - Anne LANDRY.Nous avons passé notre vie à être formatés par notre société, une société de performance et de contrôle, par notre culture qui vise à faire de nous des personnes correctes en nous insufflant de la culpabilité depuis l’enfance et par notre genre qui parle de conflit, de place et de bataille à livrer. 

Nous sommes dans une société où nous avons accès en permanence à l’information et nous savons de moins en moins qui nous sommes. Et quand nous arrivons à mettre un mot, il est stigmatisé et enfermant: HPI, TDAH, Asperger, borderline, bipolaire, hypersensible, hyperactif, obsessionnel, etc. 

Les êtres humains sont en perte de repères. Ils se noient dans ce flot d’informations et dans ce qu’on leur demande d’être et de ne pas être depuis l’enfance. 

Historiquement, nous traversons une crise majeure de l’existence humaine. 

– «Qui suis je?» 

Tandis qu’on entend parler de mission de vie et de chemin de vie, je n’ai jamais vu autant d’hommes et de femmes perdus, et déboussolés. 

Et si la réponse était partout sauf là où nous pensons qu’elle est? 

Nous sommes hyperconnectés et totalement déconnectés les uns des autres, et particulièrement de nous-mêmes. 

– «Prends soin de toi.» 

Cette phrase est devenue à la mode. Il est de notre devoir de prendre soin de nous. En parallèle, on nous impose d’être ce que nous devrions être et surtout pas qui nous sommes. 

Cette société souffle le chaud et le froid et nous sommes plongés dans une grande confusion. 

Il est venu le temps de faire un retour sur soi et de se couper de ces informations permanentes qui n’ont pour objectif que le business. 

Combien de formations en ligne pour se connaître, aller mieux, développer son potentiel auxquelles nous nous inscrivons et qui, pour la plupart, ne sont pas vues ou pas finies par manque de temps. 

Des informations encore et toujours pour inviter au changement. 

Ces informations sont dangereuses parce qu’elles font croire qu’elles détiennent la solution à notre mal-être. Qu’en mettant telle ou telle pratique en place, nous trouverons l’issue à notre souffrance en un temps record. 

Mais la performance n’est pas thérapeutique. Elle pousse à la comparaison et à la dévalorisation de soi, pire elle mène tout droit au doute de savoir qui l’on est vraiment. 

Et les réponses ne sont pas à l’extérieur, mais dans l’exploration de «nous m’aime». 

Il faut une vie pour apprendre à savoir qui l’on est et apprendre à s’aimer vraiment. Et c’est formidable d’avoir tout ce temps pour cheminer dans cette voie. La vie n’est pas une course contre la montre. Le temps n’est pas un ennemi. Il est nécessaire à toutes choses pour un bon développement. 

Nos souffrances viennent de notre croyance que les réponses sont à l’extérieur. Les clés de notre existence sont à l’intérieur de nous-mêmes et nulle part ailleurs. 

Ne laissez pas le pouvoir aux autres de vous définir, vous êtes bien trop précieuse. 

Dès le plus jeune âge, nous nous adaptons et nous suradaptons. 

Nous avons perdu en chemin cette part de nous, qui voit clair, qui est spontanée et qui sait. 

Un enfant sait ce qu’il veut et ce qu’il ne veut pas, et n’a pas de difficulté à l’exprimer. Nous allons lui apprendre à être poli, à se polir, à être façonné pour que ses désirs ne soient pas trop envahissants, pour qu’il ne fasse pas trop de bruit afin de ne pas déranger les voisins du dessous, puis à être sage pour être capable de rester assis entre six et sept heures sur une chaise. Enfin, après lui avoir dit tout ce qu’il devait penser et faire, on lui demandera à 17 ans de savoir ce qu’il veut faire de sa vie. Déboussolé, on prendra la décision pour lui devant des parents tout aussi déboussolés que lui. 

L’être humain a peur de qui il est et de ce qu’il désire au fond de lui parce qu’on n’a eu de cesse durant sa jeune existence de lui faire croire qu’être quelqu’un de bien, c’est entrer dans les cases de la société. Et puis comment laisser notre enfant être pleinement lui-même quand nous-mêmes nous n’assumons pas très bien ce qui nous anime? 

Cette société se casse la figure sous nos yeux et nous sommes perdus. Les repères deviennent caducs et nous n’avons plus de modèles à qui nous raccrocher. 

Et si c’était une chance? 

Et si, dans cet interstice, il était venu le moment de nous y engouffrer pour enfin être nous-mêmes? 

Savez-vous que pour être sûrs de faire quelque chose qui nous ressemble, il suffit de ressentir de la joie? Seule la joie que nous ressentons est à même de nous le signifier. 

La joie est le baromètre de notre alignement. 

La joie et non le bonheur. Le bonheur, s’il existe, n’est que la multiplicité de ces joies qui traduisent que nous sommes en accord avec nos réalisations, nos actions et nos paroles. Et si nous ne connaissons pas ce qu’est le bonheur, nous avons tous connu la joie, ne serait-ce qu’une fois. 

Avez-vous remarqué? Les plus joyeux sont les enfants… 

Que s’est-il passé pour que cette joie s’évanouisse autant devenus adultes? 

Nous nous sommes tout bonnement déconnectés de «nous m’aime». 

C’est cette reconnexion que nous allons ensemble tenter de reconstruire à travers cet ouvrage.

 

A propos de l’auteur 

 

Anne Landry est psychanalyste. Ses connaissances analytiques, ses perceptions extrasensorielles et son hyperempathie sont le trépied sur lequel repose sa pratique. Elle s’est aperçue, tout au long de ses quinze années de pratique en cabinet, du lien étroit qui relie les troubles de ses patients et leur hypersensibilité empathique jusque-là ignorée. 

Elle anime de nombreux ateliers et stages qui ont pour but d’accompagner les personnes hypersensibles empathiques afin qu’elles développent et acceptent leur télépathie émotionnelle. 

Anne Landry est l’auteure de L’Hyperempathie, paru chez le même éditeur.

 

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Femme hypersensible, cette sorcière qui s'ignore. - Anne LANDRY.

 

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