Addiction au sexe : alimentation et éthérique. 

L’addiction au sexe : alimentation et éthérique. 

 

Les scandales sexuels comme celui de H. Weinstein ont permis de mettre en lumière  le fait que la sexualité peut devenir pour certains, une addiction aux conséquences graves tout comme le mésusage d’alcool ou de toute autre substance psychoactive. Cet article explique cette addiction.

              

 Qu’est-ce qu’une addiction sexuelle ?

   

Pour commencer, nous devons définir ce que c’est qu’une addiction. L’addiction a pour étymologie le fait d’être “en dette”, c’est-à-dire assujetti, aliéné à une chose, dans l’impossibilité de lui échapper. Il existe deux types d’addictions (les addictions avec produit, et les addictions sans produit). L’addiction sexuelle fait partie des addictions dites « sans produit ».

 

L’addiction sexuelle  ou hypersexualité pathologique est le fait pour une personne de se sentir obligée de se livrer à une activité sexuelle compulsive même si cela perturbe sa vie.

 

En d’autres termes, c’est une obsession d’ordre sexuel, besoins, ou comportements pouvant provoquer de la détresse ou affectant de façon négative la santé, le travail, ou les relations de la personne concernée.

 

L’addiction au sexe : alimentation et éthérique. Parmi les différentes pratiques sexuelles retrouvées chez les addicts, on distingue la masturbation compulsive, la pornographie, le comportement sexuel entre adultes consentants, le cybersexe, le sexe par téléphone, les clubs de striptease, et les paraphilies ou comportements sexuels déviants (fétichisme, voyeurisme, sadomasochisme, exhibitionnisme, travestisme, rapports sexuels non consentants, harcèlement sexuel, frotteurisme, rapports sexuels avec des mineurs).

 

Le manque qu’elle peut ressentir peut se traduire par une sensation de vide, de tristesse profonde, de paresse. Chez certaines personnes, il peut provoquer des réactions impulsives comme de l’agressivité, de la peur, de l’hyperactivité ou dans le cas contraire de la passivité, de l’anxiété, des insomnies, des comportements à risques tels que l’automutilation ou la prise de produits (médicaments, alcool, drogue), la boulimie, l’anorexie…

 

La personne dépendante peut avoir plusieurs de ces réactions en même temps lorsqu’elle est en manque, ce qui est très fatigant et éprouvant psychologiquement.

 

Le manque peut parfois se traduire par des réactions physiques souvent liées à l’anxiété: contractions musculaires, crises d’angoisse, augmentation soudaine ou ralentissement soudain du rythme cardiaque.

 

Dans le cas où le manque devient quasiment insupportable, il peut conduire au suicide. Cette addiction est appelée satyrisme ou satyriasis chez l’homme et nymphomanie chez la femme.

 

D’après les études de prévalence américaines et australiennes, l’addiction sexuelle concernerait 3 à 6 % de la population générale.  Les données montrent une fréquence plus élevée chez les hommes ainsi qu’une émergence du trouble vers la fin de l’adolescence et à l’âge adulte jeune.

 

Les résultats d’une recherche portant sur 1 837 étudiants universitaires ont mis en évidence une prévalence de ce comportement de 2,0 % (3,0 % pour les hommes, 1,2 % pour les femmes).

 

Des statistiques similaires (1,7 % et 4,4 %) ont été retrouvées chez des patients psychiatriques hospitalisés. Concernant la dépendance sexuelle sur Internet, les chiffres atteindraient 2 % pour les femmes et 5 % pour les hommes. Plusieurs facteurs favorisent cette addiction notamment de type alimentaire et de type éthérique.

 

Quelle en est la cause alimentaire ?

 

Augmentation de la consommation de produits transformés. Reflet des changements dans les modes de vie.

 

Des pesticides toxiques pour la santé des agriculteurs et des consommateurs (résidus sur la nourriture et dans l’eau); des antibiotiques utilisés systématiquement dans les élevages et favorisant l’antibiorésistance ; de nombreux addictifs chimiques moins  nourrissants que les produits bruts dans les produits industriels transformés; justifient l’augmentation des maladies liées à l’excès de nourriture et à la mauvaise qualité de l’alimentation (obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, etc.).

 

Les personnes à faible revenu sont parfois accusées de « gaspiller » leur argent en achetant des aliments tels que des tartes, croustilles, biscuits, gâteaux et autres sucreries plutôt que de consommer des aliments plus sains tels que des fruits et légumes frais.

 

L’addiction au sexe : alimentation et éthérique. Par ailleurs, la surconsommation en général, et tout particulièrement de viande et de produits laitiers, est mauvaise pour la santé … L’OMS a d’ailleurs classé les viandes transformées (type charcuterie) comme cancérogènes pour l’être humain et la viande rouge comme probablement cancérogène.

 

Aussi la liste des différentes maladies recensées pour lesquelles la consommation de laitiers notamment le lait de vache serait le principal responsable est longue. Cet aliment serait à l’origine de plusieurs types de cancers : prostate, pancréas, côlon, estomac, etc.

 

Il peut aussi provoquer des ulcères, des allergies, de la fatigue chronique et du diabète. En outre, nous pouvons souligner une corrélation entre les protéines animales (viandes, laits …)  et l’addiction au sexe.

 

Notons que la proximité entre animaux sauvages et animaux d’élevage fait émerger des souches virales potentiellement transmissibles aux humains (par la consommation) et pouvant leur causer des dérèglements et probablement les rendre déviants.

 

A-t-elle une cause de type éthérique ?

 

En occultisme et en ésotérisme, le corps éthérique ou corps vital, serait, l’un des corps subtils des êtres vivants immédiatement après le corps physique et avant le corps astral selon certains auteurs.

 

Malgré la consonance du terme, l’éthérique ne désignerait pas une quelconque substance ténue, mais ce qui donnerait à toute substance sa forme. Quant à l’implant éthérique, il représente une structure énergétique inerte et inorganique, mais inconsciemment très active et dont le programme tourne en boucle à l’insu du porteur.

 

Il est lié à une croyance cellulaire erronée (à l’encontre de la manifestation divine) qui tourne en boucle comme un programme, conditionne et détermine réaction émotionnelle, comportements, pensées à son insu.

 

L’implant s’accroche à ses énergies, car il est attiré et retenu par une croyance cellulaire inconsciente qu’il porte en lui sans que son mental ne le sache. Celle-ci agit comme un aimant et les deux s’alimentent, maintenant et validant un programme distordu, perverti, erroné et actif malgré le porteur jusqu’à ce qu’il prenne conscience de cette croyance.

 

Cette croyance cellulaire peut être à l’opposé de ses croyances mentales, c’est bien pour cette raison qu’elle agit sans qu’il ne la repère pas dans sa vie et va générer des blocages, des souffrances.

 

Il ressemble à un objet métallique qui peut être très petit comme un clou ou énorme comme une armure, très pointue, telle une aiguille ou plus complexe comme un étau avec un rouage…

 

Ils ont une odeur acide et métallique, un gout d’eau de javel métallisée et sont souvent fixés sur un chakra, mais on en trouve aussi dans le canal central, dans les organes.

 

Il se fixe sur le porteur en fonction de ses expériences de vie mal digérée, non intégrée, non acceptée et génère des informations «faussées » et limitantes dans son incarnation.

 

L’implant n’est pas relié au corps physique d’une incarnation, mais aux énergies, il suit donc le porteur de vie en vie. C’est pourquoi il est nécessaire de trouver la croyance limitante et le karma à l’origine de l’implant, ils agissent parfois de façon obsessionnelle, émotionnelle ou physique, mais toujours de manière insidieuse.

 

On dénombre trois sortes d’implants : les personnels ou karmiques, le transgénérationnel, le collectif:

 

           Les implants personnels.

 

L’implant personnel est relié à l’histoire de l’âme du porteur, à ses vies antérieures. Il  se « colle » à lui à partir de situations qui ont généré dans son psychisme des croyances erronées qu’il considère comme des vérités.

 

Exemples de croyances inconscientes trouvées : l’argent est maudit, on se sert toujours de moi, l’homme est mauvais, la colère me maintient en vie, il n’y a aucune beauté ni lumière nulle part. Lorsque je lâche la croyance cellulaire alors l’implant n’a plus rien pour s’accrocher et peut être libéré.

 

          Les implants transgénérationnels

 

Comme les mémoires, ils se transmettent de génération en génération. Ce sont des implants que le porteur récupère de ses ancêtres, liés à des croyances cellulaires et traumas familiaux.

 

          Les implants collectifs

 

La limitation de notre puissance ne nous incombe pas toujours. Certains implants sont collectifs. C’est-à-dire que son programme est commun à tout être humain et que chaque humain le « reçoit » dès qu’il s’incarne jusqu’à ce qu’il en prenne conscience et le libère. De nombreux programmes ont été implantés de cette manière dans notre corps éthérique, nos chakras ou nos organes à notre insu.

 

Ils nous conditionnent aussi par conséquent sans que nous le sachions, baissent notre fréquence vibratoire, et surtout nous maintiennent dans des schémas reliés à la matrice limitante.

 

Ces schémas stagnent dans l’inconscient, créent des pensées, des réactions émotionnelles ou des attitudes et ne sont pas remis en question par le mental ou la conscience d’incarnation qui les prennent pour vérité donnée.

 

Ces implants ont clairement pour but de nous empêcher d’évoluer et de nous garder dans l’oubli de l’être divin que nous sommes et dans un conditionnement liberticide de notre souveraineté divine.

 

On peut donc comprendre que les implants éthériques en l’occurrence ceux qui sont personnels peuvent nous matrixer en nous faisant croire que la recherche permanente de satisfaction sexuelle nous est utile et bénéfique.

 

Plus loin, nous pouvons souligner l’emprise des démons sexuels (incubes et succubes ou djinn amoureux en milieu islamique). Ces démons s’installent et créent une emprise sur la vie de la victime par des rêves érotiques fréquents avec une vision féminine ou masculine. Cette emprise favorise le boost de la libido de cette dernière, ce qui entraine généralement l’apparition des comportements types d’un addict  sexuel (masturbation compulsive, etc.). Les victimes se disent généralement poussées par une force supérieure à elles.

 

Aussi nous avons d’autres pratiques occultes comme la magie pouvant faire ressortir ce côté bestial de l’homme qu’est la satisfaction de ses pulsions coute que coute avec comme dessein de le rendre mauvais aux yeux de la société, car l’homme ne pouvant pas contrôler ses pulsions est un “animal”. Il existe toutefois des solutions pour pallier ce problème.

 

Quelles solutions pour pallier ce problème ?

 

La première étape d’un  traitement est, pour l’addict, d’admettre que l’on est impuissant par rapport à l’addiction sexuelle et que notre vie est devenue incontrôlable. Il faut également décrypter avec un thérapeute le système de croyances sur lequel l’on fonctionne et arriver à déterminer la principale cause de cette addiction afin de mieux la traiter.

 

Pour les causes alimentaires,  il faudrait revoir les habitudes alimentaires surtout la consommation des produits d’origine animale.

 

L’addiction au sexe : alimentation et éthérique. Pour les causes d’ordre éthérique, il faut pour qu’un implant lâche et que les guides puissent le retirer, trouver la croyance cellulaire inconsciente qui y est reliée. C’est cela qui le retient et agit comme un aimant.  Quand les cellules libèrent la croyance, l’implant n’a plus rien pour s’accrocher et lâche.  Pour cela, il est important d’avoir un accompagnant neutre qui peut aller voir quelle est cette croyance qui s’est construite dans les cellules et qui agit inconsciemment. Aussi, pour les démons sexuels, une prise en charge spirituelle est requise.

 

Nous pouvons évoquer d’autres solutions comme les thérapies de groupe. L’intérêt de la thérapie de groupe est de dynamiser la relation thérapeutique, d’accélérer les processus de changement en partageant son expérience avec les autres patients et en puisant dans le vécu de l’autre des solutions possibles.

 

Elle permet aussi de réduire les sentiments de honte grâce au soutien et à l’écoute des autres membres et de retirer cette étiquette de « monstre sexuel » souvent à l’origine d’un isolement social profond.

 

Le groupe représente alors une base « sécure », indispensable au soin des pathologies addictives dont la problématique principale est un fort ressenti d’insécurité et d’incomplétude. Les jeux de rôles, outil thérapeutique couramment utilisé au cours des séances, offrent la possibilité d’expérimenter des situations problématiques directement vécues dans l’ici et le maintenant.

 

À travers cet exercice, le patient devient spectateur ou acteur de son propre rôle, il prend ainsi conscience de ressources parfois insoupçonnées. Les groupes de parole ou d’entraide jouent également un rôle important dans la reprise de contrôle ou l’arrêt de l’addiction, c’est le cas des groupes “Alcooliques Anonymes” qui aident plusieurs proies à se débarrasser de leur addiction à l’alcool.

 

         Aussi nous avons les thérapies comportementales (TCC) et préventions de la rechute.

 

Parmi les nouvelles vagues thérapeutiques, Reid et son équipe ont évalué l’efficacité d’une thérapie cognitive basée sur la pleine conscience, ou mindfulness, auprès de patients souffrant de « trouble hypersexuel » associé à une dysrégulation émotionnelle, de l’impulsivité et des stratégies de coping inadaptées.

 

Cette intervention contribue à la réduction de la conduite addictive sexuelle, à l’amélioration de la gestion émotionnelle et à la diminution de l’impulsivité. Par ailleurs, plusieurs travaux ont montré l’efficacité des thérapies cognitivo comportementales dans le traitement des conduites addictives.

 

Cette approche thérapeutique brève s’appuie sur l’interdépendance des processus cognitifs, émotionnels et comportementaux.

 

Dans le cas d’une addiction sexuelle, le comportement problématique est appris selon les différents modèles d’apprentissage. Le cycle addictif qui en découle est entretenu par des renforcements individuels, environnementaux et liés à la sexualité notamment des distorsions cognitives de type « pensées automatiques », précédant, accompagnant ou succédant au passage à l’acte.

 

Ainsi, cette stratégie thérapeutique aide le patient à modifier ses schémas de pensée dysfonctionnels, à diminuer ou arrêter sa pratique sexuelle addictive et à réduire ses ressentis de honte.

 

Vous pouvez aussi faire appel en cas de possession par une entité, démons sexuels à un exorciseur qui pourra faire partir cette créature de votre corps.

 

Dans tout les cas il existe des solutions et traitements. Ne laisser pas votre addiction sexuelle vous gâchez la vie.

 

 

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1 commentaire sur “L’addiction au sexe : alimentation et éthérique. ”

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